Bernard Rappaz remet ça. Il a reçu jeudi, au quartier cellulaire des Hopitaux universitaires genevois, la Tv romande, avec la bénédiction des très compréhensifs Service pénitentiaires valaisans. La TV le décrit comme planant au-dessus de lui "je sens que je bascule" assure le gréviste qui ajoute "je plane en permamnence, c'est mieux qu'un joint"...
vendredi 25 juin 2010
Rappaz provoque encore: le coup de trop?
Bernard Rappaz remet ça. Il a reçu jeudi, au quartier cellulaire des Hopitaux universitaires genevois, la Tv romande, avec la bénédiction des très compréhensifs Service pénitentiaires valaisans. La TV le décrit comme planant au-dessus de lui "je sens que je bascule" assure le gréviste qui ajoute "je plane en permamnence, c'est mieux qu'un joint"...
mercredi 23 juin 2010
L'impudique M. Woerth!
Eric Woerth, ci-devant Ministre du Budget et trésorier de l'UMP, est aussi le mari de Madame. Qui gagnait (son mari annonce sa démission) sa vie en gérant la plus grosse fortune de France, celle de Mme Bettencourt (L'Oréal). Fortune placée en partie dans une île des Seychelles et dans un coffre genevois et un autre à Vevey!
lundi 21 juin 2010
Casquette, M. Perrin!
Yvan Perrin, c'est pas ma tasse de thé. Mais, là, faut dire que le gars remonte dans mon estime. Il demande aux Zurichois de l'UDC de "trouver quelqu'un d'autre pour jouer le rôle d'alibi en Suisse romande"! Ce doit être dur pour un fidèle serviteur du parti de Blocher de dire ouvertement ce genre de chose. Depuis le temps que les adversaires politiques dénoncent la main mise de Zurich sur le plus grand parti de Suisse, devoir l'avouer, ça doit pas être facile.
dimanche 20 juin 2010
Arroseur arrosé
On se souvient des rodomontades du Ministre français Eric Woerth assurant vouloir utiliser les fichiers volés dans la banque HSBC pour poursuivre les vilains Français qui osaient frauder le fisc en planquant à Genève leur bas de laine. Depuis, il a changé de ministère...
dimanche 13 juin 2010
La presse se disqualifie
Max est enfin libre. Tout le monde s'en réjouit! Enfin presque...
jeudi 10 juin 2010
RSV : Réplique du Réseau et plainte pénale
La direction du Réseau Santé Valais répond aux attaques
Au coeur d'une polémique depuis plusieurs semaines, le Réseau Santé Valais est passé à l'offensive à Sion. Il a répondu aux principales attaques et a indiqué avoir dénoncé pénalement le chirurgien Daniel Savioz, dont le licenciement a déclenché toute l'affaire.
Ils n'étaient pas moins d'une dizaine ce mercredi, membres de la direction générale et du corps médical, à faire "toute la lumière" sur les attaques dont est victime le RSV.
Certes, la planification hospitalière débutée il y a six ans n'est pas une balade de santé. "Comment pourrait-il en être autrement quand il s'agit de rassembler et de faire cohabiter près de 450 médecins, 1600 infirmières pour traiter 37'500 patients et assurer 317'000 visiteurs ambulatoires par année?", s'est interrogé Raymond Pernet, président du Conseil d'administration du RSV.
Mais les problèmes seraient incomparables avec ceux dénoncés ces derniers mois par l'ex-conseiller d'Etat Serge Sierro et l'ancien professeur d'université Jean-Claude Pont. Si le chirurgien Daniel Savioz a été dénoncé pénalement par le RSV pour violation des dispositions légales sur la protection des données et le secret professionnel, Messieurs Sierro et Pont, sont, eux menacés de poursuites civiles.
Pour mémoire, le médecin-chef Daniel Savioz avait émis des doutes sur les résultats médicaux obtenus par le service de chirurgie abdominale et viscérale du RSV. Ne se sentant pas écouté par sa hiérarchie, il avait transmis pour avis une cinquantaine de dossiers au professeur Philippe Morel, patron de la chirurgie viscérale aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).
(ats / 09 juin 2010 14:02)mardi 1 juin 2010
Quand le RSV communique!
Le prochain communicateur du RSV, le (bon) journaliste Joakim Faiss (en partence d'un Nouvelliste en voie d'hersantisation) aura du pain sur la planche. Il faudra commencer par expliquer à la bande à Dupuis que la censure n'est pas un moyen de communication. C'est un peu comme si on faisait péter des fusibles pour " faire toute la lumière".