Un journaliste cherchant à se renouveler à l’aube d’une énième élection cantonale. Eric Felley le jazzman, le peintre, l’écrivain, le poète, accidentellement devenu journaliste mais sûr de ses talents, se sentant investi d’une mission: celle de vivre la grande aventure de l’intérieur, d’occuper l’écran pour laisser s’épanouir son génie naturel.
Eric a survécu au portrait vitriolé de Xavier. Il diffuse son deuxième communiqué de campagne, abordant le sujet qui le titille depuis des lustres : dénoncer la petite maffia qui squatte les allées du Pouvoir. Un avant goût : "Mon geste politique est de remédier à cette situation qui rend beaucoup de gens frileux, mécontents et qui ont le sentiment d‚être exclus de la vie publique. L‚accaparement du pouvoir par certaines petites coteries masculines et alpicoles découragent les Valaisannes et les Valaisans. Je ne sais pas si on peut changer cela, mais on doit au moins en débattre. Et y croire."
T'as raison Eric. Mais on veut des noms, pas seulement des indices: Dans Alpicole, il y a Alpes et Picole... C'est pas 2 indices ça?...
Pour Alpe, j'ai pensé à Tornay
RépondreSupprimerMais pour Picole, c'est pas lui
alors QUIIIII????
Tiens, moi qui pensais que les cousins Fournier fumaient des joints.....
RépondreSupprimerPourquoi cet étonnement?
RépondreSupprimerOn peut pas picoler et fumer des joints?