"Attitude irresponsable et incompréhensible" a décrété le plus illustre analyste politique du canton, Jean-Henri Dumont, président du PS, quand les verts ont annoncé ne pas vouloir s'allier au PS pour les élections fédérales. Et c'est vrai qu'en matière d'irresponsabilité et d'incompréhension, il en connaît un bout.
N'avait-il pas dit dit en 2009 sur Canal 9:
"Les électeurs de Madame Volpi doivent voter Esther! Même si les socialistes ne pourront pas voter Volpi..."?
Et dans le Nf du 29 mars :
"Avec un coup comme celui-là, les Verts remettent en cause toutes les alliances locales. S'ils veulent croître sur le dos du PS, ça ne marchera pas"?
Jean-Henri Dumont, président du PS et grand stratège électoral réélu au Grand Conseil grâce au score de la verte Marylène Volpi, ne manque décidément pas d'air!
Le chauffeur (en 2009) attitré de Marylène et d'Esther (qui appelait à ne pas voter Volpi), démontre une fois de plus qu'il est le stratège socialiste rêvé... par la droite.
Sa logique à géométrie variable et son ambition personnelle à vouloir succéder à Rossini sont les meilleurs atouts... de la droite.
Jamais avant lui le PS n'avait osé appeler à voter PDC. Non, je vous assure, ce gars est absolument l'homme que le PS attendait pour assurer les scores... de la droite.
N'avait-il pas dit dit en 2009 sur Canal 9:
"Les électeurs de Madame Volpi doivent voter Esther! Même si les socialistes ne pourront pas voter Volpi..."?
Et dans le Nf du 29 mars :
"Avec un coup comme celui-là, les Verts remettent en cause toutes les alliances locales. S'ils veulent croître sur le dos du PS, ça ne marchera pas"?
Jean-Henri Dumont, président du PS et grand stratège électoral réélu au Grand Conseil grâce au score de la verte Marylène Volpi, ne manque décidément pas d'air!
Le chauffeur (en 2009) attitré de Marylène et d'Esther (qui appelait à ne pas voter Volpi), démontre une fois de plus qu'il est le stratège socialiste rêvé... par la droite.
Sa logique à géométrie variable et son ambition personnelle à vouloir succéder à Rossini sont les meilleurs atouts... de la droite.
Jamais avant lui le PS n'avait osé appeler à voter PDC. Non, je vous assure, ce gars est absolument l'homme que le PS attendait pour assurer les scores... de la droite.
Tout juste. En 2009, le grand stratège Dumont a réussi l'impensable: demander aux électeurs du PS de voter PRD et PDC pour maintenir le statut-quo au lieu d'attaquer la citadelle en misant sur les Verts. Ce jour-là, le PSVR a signé l'une des plus sombre pages de l'histoire du socialisme. Maintenant, le gourou de la stratégie a tout misé sur Rossini, avec une stratégie de court terme. Sauf que les Verts n'ont pas suivi... et que Dumont se retrouve "bec dans l'eau". Qui a dit démission?
RépondreSupprimerAnalyse totalement exacte. Comme je suis de droite, je m'en réjouis. Cependant, je ne suis pas sûr que la base acceptera cette façon de faire, et je pense que le grand stratège Dumont sera quelque peu blackboulé lors du congrès socialiste de désignation des candidats. A mon avis, rien n'est donc encore joué...
RépondreSupprimerLaissons pisser le mérinos. Samedi nous connaîtrons le ticket du PS.
RépondreSupprimerQuant à la Marylène Volpi elle a trop tendance à jouer des coudes au Grand Conseil et son attitude de même que ces commentaires dans les médias m’agacent.
Elle servira peut-être d’alibi lorsqu’il s’agira de remplacer Claude Roch au Conseil d’Etat afin de barrer la route à l’enseignant d’allemand de Savièse et de faire élire un radical du centre.
Les Verts avec leurs DEUX députés élus au Grand Conseil pourraient avoir un minimum d'humilité. Ils pensent pouvoir marcher seuls? Mais pourquoi pas. Ils le font juste avec un peu d'avance sur le "programme". Mais je ne sais pas si Fukushima réussira encore en octobre à les pousser hors de l'eau. Leur calcul est pourtant simple. "Nous avons 2 élus au Municipal (ADG de Sion) sur 3, alors pourquoi pas ailleurs ce même trend?" Ils ne devront alors se contenter plus que de "leurs" voix. les socialistes n'ont rien à perdre (ils ont déjà perdu dans le cas de figure sédunois).
RépondreSupprimerA vouloir trop ressembler à Brélaz, Volpi va en perdre sa ligne...